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Au-delà du frisson...

Corsaire

Maître Poète
#1
Toi qui sevrais le monde et chambrais les matins
Vois-tu venir le sombre essaimer ses noirceurs
Dans les songes naissants des hommes sans destin

Je t’écris de si loin, où frémissent les heures
Lorsque l’ombre se fond dans les arbres qui bougent
Tes larmes sont des fleurs qu’effeuille le malheur

Tes yeux sont les reflets marqués au soleil rouge
De l’horizon lointain où le jour se résorbe
Là où naissent mes mots que cisèle la gouge

Que dicte le silence à l’être qu’il absorbe
Sait-il que l’impatience est une tentation
Quand sa main se délie et caresse l’absence

Il est une musique au-delà du frisson
 

GABY73

Maître Poète
#5
Toi qui sevrais le monde et chambrais les matins
Vois-tu venir le sombre essaimer ses noirceurs
Dans les songes naissants des hommes sans destin

Je t’écris de si loin, où frémissent les heures
Lorsque l’ombre se fond dans les arbres qui bougent
Tes larmes sont des fleurs qu’effeuille le malheur

Tes yeux sont les reflets marqués au soleil rouge
De l’horizon lointain où le jour se résorbe
Là où naissent mes mots que cisèle la gouge

Que dicte le silence à l’être qu’il absorbe
Sait-il que l’impatience est une tentation
Quand sa main se délie et caresse l’abnifique Corsaire
Merci pour ce mlaisir de lecture
Bonne journée
Gaby sence

Il est une musique au-delà du frisson
Magique
Merci pour ce pzrtage
Gaby
 
Dernière édition:
#19
Merci Paule pour ce regard sensible que tu poses ici. Belle journée.
Peu de poésie se lise dans les deux sens, la tienne offre ce cadeau : les cent ciels
Je te souris et te remercie pour ce bonheur matinal Belle journée Poète rare, et bel été Corsaire.


Il est une musique au-delà du frisson

Quand sa main se délie et caresse l'absence
Sait-il que l'impatience est une tentation
Que dicte le silence à l'être qu'il absorbe

Là où naissent mes mots que cisèle la gouge
De l'horizon lointain où le jour se résorbe
Tes yeux sont les reflets marqués au soleil rouge

Tes larmes sont des fleurs qu'effeuille le malheur
Lorsque l'ombre se fond dans les arbres qui bougent
Je t'écris de si loin, où frémissent les heures

Dans les songes naissants des hommes sans destin
Vois-tu venir le sombre essaimer ses noirceurs
Toi qui sevrais le monde et chambrais les matins
 

Corsaire

Maître Poète
#20
Peu de poésie se lise dans les deux sens, la tienne offre ce cadeau : les cent ciels
Je te souris et te remercie pour ce bonheur matinal Belle journée Poète rare, et bel été Corsaire.


Il est une musique au-delà du frisson

Quand sa main se délie et caresse l'absence
Sait-il que l'impatience est une tentation
Que dicte le silence à l'être qu'il absorbe

Là où naissent mes mots que cisèle la gouge
De l'horizon lointain où le jour se résorbe
Tes yeux sont les reflets marqués au soleil rouge

Tes larmes sont des fleurs qu'effeuille le malheur
Lorsque l'ombre se fond dans les arbres qui bougent
Je t'écris de si loin, où frémissent les heures

Dans les songes naissants des hommes sans destin
Vois-tu venir le sombre essaimer ses noirceurs
Toi qui sevrais le monde et chambrais les matins
Peu de poésie se lise dans les deux sens, la tienne offre ce cadeau : les cent ciels
Je te souris et te remercie pour ce bonheur matinal Belle journée Poète rare, et bel été Corsaire.


Il est une musique au-delà du frisson

Quand sa main se délie et caresse l'absence
Sait-il que l'impatience est une tentation
Que dicte le silence à l'être qu'il absorbe

Là où naissent mes mots que cisèle la gouge
De l'horizon lointain où le jour se résorbe
Tes yeux sont les reflets marqués au soleil rouge

Tes larmes sont des fleurs qu'effeuille le malheur
Lorsque l'ombre se fond dans les arbres qui bougent
Je t'écris de si loin, où frémissent les heures

Dans les songes naissants des hommes sans destin
Vois-tu venir le sombre essaimer ses noirceurs
Toi qui sevrais le monde et chambrais les matins